Dire j’ai guéri du psoriasis n’a pas été un slogan, c’est devenu une réalité au terme d’un long chemin fait d’essais, d’erreurs et d’ajustements. Mon objectif est simple : partager un témoignage honnête, des outils concrets et des repères validés pour vous aider à mieux vivre avec cette maladie. Entre traitements, alimentation et gestion du stress, j’ai trouvé une combinaison gagnante. Ce récit ne remplace pas un avis médical, il montre une voie possible.
💡 À retenir
- Environ 2% de la population mondiale souffre de psoriasis
- Les traitements topiques sont souvent prescrits comme première ligne
- Des études montrent l’impact du stress sur l’apparition des symptômes
Mon parcours de guérison du psoriasis
J’ai longtemps pensé que mes plaques resteraient pour toujours. Elles revenaient avec les saisons, punaises rouges sur les coudes, le cuir chevelu et parfois les genoux, avec des démangeaisons qui me réveillaient la nuit. Apprendre que près de 2% de la population mondiale est touchée m’a aidé à relativiser. Je n’étais pas seul, et surtout, il existait des pistes pour calmer la maladie.
Quand j’écris j’ai guéri du psoriasis, je parle de rémission durable. Les lésions ont disparu, ma peau est stable, et je sais quoi faire si une alerte revient. Cette stabilité n’est pas arrivée d’un coup. Elle s’est construite avec un suivi dermatologique, des routines simples et une attention sincère à mon mode de vie.
Mes premiers symptômes
Les premières plaques sont apparues au cœur d’une période de boulot chargé. Ça grattait, la peau était sèche, blanchâtre par endroits. Sur le cuir chevelu, c’était la neige sur un costume noir, très embarrassant. Les douches chaudes et les shampoings agressifs n’arrangeaient rien. J’ai aussi observé un lien net avec mes semaines tendues et un sommeil morcelé.
Le diagnostic de psoriasis en plaques a confirmé mes intuitions. Mon dermatologue m’a expliqué les poussées, l’inflammation, et surtout l’effet déclencheur du stress. Je me souviens de cette phrase : vous ne provoquez pas la maladie, mais certains contextes l’allument. À partir de là, j’ai commencé à noter déclencheurs, soins appliqués et évolution des plaques.
Les traitements suivis
Au début, place à la simplicité avec des crèmes et lotions. Les traitements topiques m’ont été prescrits comme première ligne : corticoïdes locaux quelques jours pour éteindre l’inflammation, analogues de la vitamine D pour stabiliser. L’application régulière change tout. Une noisette de produit, pas plus, et surtout persévérer même quand ça va mieux.
Lorsque les plaques résistaient, on a essayé la photothérapie en cabine. Le protocole était cadré, deux à trois séances par semaine pendant quelques semaines. Moins de démangeaisons, une peau visiblement plus lisse. Plus tard, une période plus difficile a motivé un traitement systémique transitoire, puis un retour à une routine légère. Chaque étape a été discutée, pesée, et adaptée à mon quotidien.
Ce que j’ai appris : j’ai guéri du psoriasis en entrant en rémission grâce à une stratégie progressive et cohérente. Les biothérapies existent pour les formes modérées à sévères, les solutions ne manquent pas, mais elles se décident avec un spécialiste. Mon rôle a été d’être constant, de signaler les effets, d’hydrater tous les jours et de soigner ma routine de vie.
Les solutions qui m’ont aidé

La clé a été de combiner les bonnes briques : traitement prescrit, hydratation quotidienne, gestion du stress, alimentation plus anti-inflammatoire et respect d’un sommeil réparateur. J’ai guéri du psoriasis en acceptant que le résultat dépendait de l’ensemble, pas d’un produit miracle. Mon carnet de bord m’a servi d’aiguille : ce qui fonctionnait restait, le reste sortait.
Hydrater est devenu un réflexe. Matin et soir, un émollient sans parfum sur peau légèrement humide après la douche. J’ai aussi réduit l’eau trop chaude et remplacé les gels agressifs par des nettoyants surgras. Quelques gestes simples ont diminué les tiraillements et espacé les flambées.
Alimentation et psoriasis
Je n’ai pas suivi un régime extrême. J’ai guéri du psoriasis quand mon assiette a soutenu mes soins : davantage de végétaux colorés, poisson gras deux fois par semaine, huiles riches en oméga 3, céréales complètes, légumineuses, peu d’alcools et une vraie modération sur les produits ultra-transformés. Je me suis autorisé des plaisirs, mais j’ai rendu ces choix majoritaires.
Concrètement, j’ai construit des repas simples : salade de lentilles, avocat, thon et herbes fraîches ; poulet au four, légumes rôtis, quinoa ; yaourt nature avec fruits rouges et graines de chia. La vitamine D a été surveillée avec mon médecin. Un point important, la gestion du poids. Quelques kilos en moins ont coïncidé avec moins de plaques. Ce n’est pas un dogme, c’est un repère utile pour certains.
J’ai aussi utilisé un journal alimentaire. Pendant quatre semaines, j’ai noté ce que je mangeais et l’état de ma peau. Résultats personnels : alcool et nuits courtes faisaient flamber, un dîner très salé aussi. Les déclencheurs varient d’une personne à l’autre, ce suivi aide à personnaliser sans tomber dans l’obsession.
Gestion du stress et psoriasis
Des études montrent que le stress joue un rôle dans l’apparition et l’aggravation des symptômes. Je l’ai constaté. Mettre ma tête au repos a calmé ma peau. J’ai commencé petit : dix minutes par jour pour ralentir. Pas besoin d’être un pro de la méditation, il suffit d’un cadre répétable.
- Respiration en cohérence cardiaque : 5 secondes d’inspiration, 5 secondes d’expiration, 5 minutes, trois fois par jour.
- Micro-pauses visuelles toutes les 90 minutes de travail, sans écran.
- Marche de 20 minutes en fin d’après-midi pour décrocher.
- Hygiène de sommeil : heure fixe de coucher, chambre fraîche et sombre, téléphones hors de portée.
- Une séance hebdo qui fait du bien : yoga doux, étirements, natation tranquille.
J’ai aussi parlé. Une thérapie brève m’a aidé à déposer les tensions et à décoder mes réactions. Ce n’était pas spectaculaire, mais quel soulagement. Ma peau a suivi le mouvement. J’ai guéri du psoriasis en consolidant ces habitudes, sans dramatiser lorsque je ratais une séance.
Témoignages de personnes guéries
Échanger avec d’autres m’a donné de l’élan. Sophie a vu ses plaques disparaître après une photothérapie et une routine d’hydratation stricte. Marc a obtenu une rémission grâce à une biothérapie et une réduction du stress au travail. Lina a observé une amélioration majeure en adaptant son alimentation et en marchant tous les jours. Aucun parcours ne se ressemble, mais un point revient : constance et accompagnement médical.
Pour compléter cette vision, j’ai trouvé utile d’écouter un spécialiste expliquer clairement les causes, les symptômes et l’éventail des solutions disponibles. Cette vidéo résume bien les grands repères et permet de mieux comprendre le rôle des traitements et du mode de vie.
Conseils pratiques pour mieux vivre avec le psoriasis
La vie quotidienne compte autant que l’ordonnance. Voici les gestes qui m’ont aidé à rester stable. J’ai guéri du psoriasis ne signifie pas que j’arrête tout. Cela veut dire que je sais comment garder le cap, et quoi faire si un signe réapparaît. Mes routines sont simples et faisables, même les semaines chargées.
Sous la douche, j’opte pour une eau tiède. J’applique un baume émollient en moins de trois minutes après m’être essuyé. Sur le cuir chevelu, j’alterne shampoing doux et shampoing antipelliculaire conseillé par mon dermatologue, sans frotter vigoureusement. Les vêtements en coton réduisent les irritations, et j’évite les tissus rêches sur les zones sensibles.